| P. J. Bitaubé - 1810 - 450 páginas
...le début de son poëme du SIÈCLE DE LOUIS-LE-GRAND , OÙ il dit: Je vois les anciens, sans ployer les genoux : Ils sont grands , il est vrai, mais hommes comme nous ; Et l'on peut comparer, sans craindre d'être injuste, . Le siècle de Louis au beau siècle d'Auguste.... | |
| Gabriel Henry - 1812 - 760 páginas
...tant de prodiges qui se passoient sous ses yeux : Fameuse antiquité J'admire tes héros sans fléchir les genoux. Ils sont grands, il est vrai , mais hommes comme nous; Et j'ose comparer , sans craindre d'être injuste , Le siècle de Louis au teau siècle d'Auguste Platon,... | |
| Charles Perrault, P. L. Jacob - 1842 - 400 páginas
...La belle antiquité fut toujours vénérable , Mais je ne crus jamais qu'elle fût adorable. Je vois les anciens, sans plier les genoux ; Ils sont grands, il est vrai, mais hommes comme nous ; Et l'on peut comparer, sans craindre d'être injuste, Le siècle de Louis au beau siècle d'Auguste.... | |
| Charles Perrault - 1842 - 370 páginas
...La belle antiquité fut toujours vénérable , Mais je ne crus jamais qu'elle fût adorable. Je vois les anciens, sans plier les genoux ; Ils sont grands, il est vrai, mais hommes comme nous ; Et l'on peut comparer, sans craindre d'être injuste, Le siècle de Louis au beau siècle d'Auguste.... | |
| Karl Julius Weber - 1848 - 478 páginas
...read nature , turn men's manner o'er , and half your volumes burn — dare be yourelf! •) Je lis les anciens, sans plier les genoux; ils sont grands, il est vrai, mais homines comme nous; si nous voulions ôter le voile spacieux que la prévention nous met devant les... | |
| Hippolyte Rigault - 1856 - 510 páginas
...La belle antiquité fut toujours vénérable, Mais je ne crus jamais qu'elle fût adorable. Je vois les anciens sans plier les genoux : Ils sont grands, il est vrai, mais hommes comme nous; Et l'on peut comparer, sans crainte d'être injuste, Le siècle de Louis au beau siècle d'Auguste.... | |
| Hippolyte Rigault - 1859 - 562 páginas
...La belle antiquité fut toujours vénérable , Mais je ne crus jamais qu'elle lut adorable. Je vois les anciens sans plier les genoux : Ils sont grands, il est vrai, mais hommes comme nous; Et l'on peut comparer, sans crainte d'être injuste, Le siècle de Louis au beau siècle d'Auguste.... | |
| Alfred Michiels - 1863 - 580 páginas
...exaspérer les fanatiques du grec et du latin. Dès l'exorde, leurs sourcils se contractèrent : Je vois les anciens sans plier les genoux ; Ils sont grands, il est vrai, mais hommes comme nous; Et l'on peut comparer, sans craindre d'être injuste, Le siècle de Louis au beau siècle d'Auguste.... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1870 - 594 páginas
...La belle antiquité fut toujours vénérable. Mais je ne crus jamais qu'elle fût adorable. Je vois les anciens sans plier les genoux : Ils sont grands, il est vrai, mais hommes comme nous. 2. Brossette apprécie très-bien la situation quand il écrit à Boileau : « Mais ce que j'ai lu... | |
| Friedrich Paulsen - 1885 - 912 páginas
...antiquite ful toujours venerable, Mais je ne crus jamais quelle ßtt adorable. Je voix les Andens, sam plier les genoux. Ils sont grands, il est vrai, mais homm.es, comme nous. Et Ton peut comparer, sans cra/ndre d't'lre injitste, Le Siede de Louis au beau Siede (f Auyuste. 328... | |
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