Archives historiques et littéraire du Nord de la France, et de Midi de la BelgiqueAimé Nicolas Leroy, Arthur Dinaux, André Joseph Ghislain Le Glay Bureau des Archives., 1844 |
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Términos y frases comunes
abbé aiant Altesse ancien Anne Boleyn Anvers Archives armée Arras Artois aujourd'hui aultres auoir avaient Avesnois avoit batiste Bavai Bavay Beaunoir Belg Belgique Bruxelles Cambrai Cambray Cambrésis Cantimpré César chiux cité comte comte de Hainaut conseil coton Croy Crugeot d'Arras d'Artois d'Esclaibes dame deniers dentelles doit donner Douai Dourlers dudit Echevins église esquievin estoit estre faict fils flamand Flandre François Gaules Hainaut Hist historiques hommes imprimé Jacques de Guyse Jean Jehan jour l'abbaye l'abbé l'an l'auteur l'église l'histoire ledit lettres Lille livre ly sires M. J. De Bast maison Maubeuge mémoire ment Meurier monument mort Nerviens nombre nommé notice Ostricourt ouvrage passer pays Pays-Bas peintre personne Philippe pièces Pierre porte premier prince provinces religieux reste Révolution brabançonne Robert Romains Roucourt saint Sebourg Seclin seigneur serait seul siècle sieur Solre-le-château sorte suivant terre tion titre troupes trouve tulle tullerie Valenciennes village voelt
Pasajes populares
Página 514 - Le costume, ou essai sur les habillements et les usages de plusieurs peuples de l'antiquité , prouvé par les monuments.
Página 343 - Amour sacré de la patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté ! Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, etc.
Página 93 - De malheureux amis, de trop faibles parents, des citoyens vertueux ont consacré tous leurs biens pour faire réussir mes projets. Ils sont maintenant dans la misère. Je me soumets à toutes les formes judiciaires, je demande, comme le dernier des créanciers, ce qui m'est dû. Mes services sont des fables, ma demande est ridicule ; je suis traité comme le plus vil des hommes... Je suis dans la plus déplorable indigence.
Página 343 - Allons, enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé; Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé, (bis) Entendez-vous, dans ces campagnes, Mugir ces féroces soldats?
Página 583 - Mémoires de la Société royale et centrale d'agriculture , sciences et arts du département du Nord , séant à Douai.
Página 359 - Houthem, près d'Ypres, Sonnebeke, etc., parlent français, bien qu'enclavés dans des cantons flamingants ; ces exemples sont des exceptions dues à des émigrations et à des transports d'hommes ou de troupes que l'histoire peut expliquer. Il est bon de remarquer d'ailleurs que Haut-Pont et...
Página 309 - Si vous mandons que ces présentes vous ayez à faire enregistrer et du contenu en icelles jouir et user ledit exposant pleinement et paisiblement, cessant et faisant cesser tous troubles et empeschemens.
Página 134 - Bavai des idées fort inexactes en se la représentant sous les traits de l'ancienne Rome. De magnifiques palais d'une architecture élégante et noble, s'élevant ça et là au milieu de divers groupes de huttes Gauloises , couvertes de longs toits en cônes, dont les pointes allaient se perdre dans le feuillage des arbres destinés à les abriter; de larges voies militaires aboutissant à un centre commun dans une place garnie de portiques; quelques temples sans doute, et d'autres édifices consacrés...
Página 333 - Le duc de Wurtemberg et les colonels se sauvèrent à grand' peine; le duc s'enfuit en chemise. Tous ceux qui ne purent prendre la fuite furent tués ou faits prisonniers. Les soldats s'emparèrent de tout le bagage et de plus de mille chevaux. Jean de Weert revint auprès du cardinal infant avec cinq étendards enlevés aux ennemis, douze autres avaient été brûlés '. On comprend la terreur des Parisiens, quand ils entendaient raconter de semblables coups de main.
Página 573 - Nouvelles Lettres provinciales, ou Lettres écrites par un provincial à un de ses amis ; par l'auteur de la « Revue politique de l'Europe en 1825 ». Paris, Bossange frètes, 1825, in-8 de 224 pag.