Œuvres complètes, Volumen15Pourrat frères, 1836 |
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... éternelle ! Mais si tu les soutiens , qui peut les ébranler ? Du tombeau , quand tu veux , tu sais nous rappeler ; Tu frappes et guéris , tu perds et ressuscites . Ils ne s'assurent point en leurs propres mérites , Mais en ton nom , sur ...
... éternelle ! Mais si tu les soutiens , qui peut les ébranler ? Du tombeau , quand tu veux , tu sais nous rappeler ; Tu frappes et guéris , tu perds et ressuscites . Ils ne s'assurent point en leurs propres mérites , Mais en ton nom , sur ...
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... éternelle ; le comble de la félicité pour les Grecs et pour les Romains se réduisoit à mêler leurs cendres ensemble : mais combien elle devoit être douloureuse , une urne qui ne renfermoit que des souvenirs ! le polythéisme avoit établi ...
... éternelle ; le comble de la félicité pour les Grecs et pour les Romains se réduisoit à mêler leurs cendres ensemble : mais combien elle devoit être douloureuse , une urne qui ne renfermoit que des souvenirs ! le polythéisme avoit établi ...
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... éternelle joie de son âme est de sentir que toutes ses prières sont exaucées , tous ses vœux résignés . Le travail et le repos partagent éga- lement ses jours ; son sommeil facile cède sans effort aux pleurs et aux veilles . Ses désirs ...
... éternelle joie de son âme est de sentir que toutes ses prières sont exaucées , tous ses vœux résignés . Le travail et le repos partagent éga- lement ses jours ; son sommeil facile cède sans effort aux pleurs et aux veilles . Ses désirs ...
Página 90
... éternelle beauté , pour qui les disciples de Platon se hâtoient de quitter la terre . Elle ne se montre à ses amants ici - bas que voilée ; elle s'en- veloppe dans les replis de l'univers comme dans un manteau ; car , si un seul de ses ...
... éternelle beauté , pour qui les disciples de Platon se hâtoient de quitter la terre . Elle ne se montre à ses amants ici - bas que voilée ; elle s'en- veloppe dans les replis de l'univers comme dans un manteau ; car , si un seul de ses ...
Página 121
... éternelle . D'ailleurs il faut tou- jours se souvenir que la naïade détruisoit la poésie descriptive ; qu'un ruisseau , représenté dans son cours naturel , est plus agréable que dans sa pein- ture allégorique , et que nous gagnons d'un ...
... éternelle . D'ailleurs il faut tou- jours se souvenir que la naïade détruisoit la poésie descriptive ; qu'un ruisseau , représenté dans son cours naturel , est plus agréable que dans sa pein- ture allégorique , et que nous gagnons d'un ...
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Términos y frases comunes
Agamemnon aime âme amour AMOUR CHAMPÊTRE anges antique avoient avoit beau idéal beauté Bible Bossuet c'étoit caractère chant CHAP CHAPITRE charmes chose christianisme ciel cœur connoissance d'Homère Démosthènes désert Didon Dieu dieux divin douleur éloquence Énée éternelle étoient étoit Eutrope Fénelon fin du volume foible forêts GÉNIE DU CHRIST GÉNIE DU CHRISTIANISME géométrie goût Grecs Hector héros Homère hommes humain Iliad Jésus-Christ Joseph jour l'âme l'amour l'antiquité l'Église l'enfer l'esprit l'histoire l'homme larmes Louis XIV malheureux Massillon ment mère merveilleux Milton modernes mœurs monde morale mort mythologie nature parle paroît paroles Pascal passions peinture Pénélope pensée père peuple philosophie Platon pleurs poëte poétique POLYEUCTE polythéisme premier prêtre Priam Racine religieux religion chrétienne reste rien rois Satan sciences sent seroit seul siècle de Louis simplicité solitude style sublime sujet tableau temple terre Tertullien tion Tite-Live tombeau Ulysse vérité vertu Virgile voilà voix Voltaire Voyez la note yeux Zaïre
Pasajes populares
Página 42 - De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé; Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes * ? Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes ? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes, Pour pleurer ton malheur...
Página 334 - Il ira, cet ignorant dans l'art de bien dire, avec cette locution rude, avec cette phrase qui sent l'étranger, il ira en cette Grèce polie, la mère des philosophes et des orateurs ; et , malgré la résistance du monde, il y établira plus d'églises que Platon n'ya gagné de disciples par cette éloquence qu'on a crue divine...
Página 42 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide. De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé. Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez- vous ces enfants et ces femmes?
Página 264 - Ce chien est à moi , disaient ces pauvres enfants; c'est ma place au soleil : voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terre.
Página 226 - Les forêts ont été les premiers temples de la Divinité et les hommes ont pris dans les forêts la première idée de l'architecture. Cet art a donc dû varier selon les climats. Les Grecs ont tourné l'élégante colonne corinthienne avec son chapiteau de feuilles sur le modèle du palmier.
Página 268 - Les sciences ont deux extrémités qui se touchent: la première est la pure ignorance naturelle, où se trouvent tous les hommes en naissant. L'autre extrémité est celle où arrivent les grandes âmes, qui, ayant parcouru tout ce que les hommes peuvent savoir, trouvent qu'ils ne savent rien, et se rencontrent en cette même ignorance d'où ils étaient partis; mais c'est une ignorance savante qui se connaît.
Página 42 - En tes serments jurés au plus saint de leurs rois, En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Página 68 - Et des crimes peut-être inconnus aux enfers! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un dieu cruel a perdu ta famille: Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille. Hélas! du crime affreux dont la honte me suit Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit: Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie.
Página 153 - Per me si va nella città dolente; per me si va nell' eterno dolore; per me si va tra la perduta gente.
Página 68 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale. Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains. Minos juge aux enfers tous les pâles humains.