| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 424 páginas
...un lit de roses. Je me souviens même d'avoir passé une nuit délicieuse hors de la ville dans un chemin qui côtoyait le Rhône ou la Saône, car je...humectait l'herbe flétrie ; point de vent, une nuit Iran-* quille ; l'air était frais sans être froid; le soleil après son coucher avait laissé clans... | |
| Charles Joseph Chambet - 1815 - 556 páginas
...blanes dans sa poche. La description qu'il nous a laissée respire tout le charme de ces beaux lieux. « La soirée était charmante, la rosée humectait l'herbe...son coucher avait laissé dans le ciel des vapeurs rouges , dont la reflexion rendait l'eau couleur de rosé , les arbres des terrasses étaient chargés... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 494 páginas
...un lit de roses. Je me souviens même d'avoir passé une nuit délicieuse hors de la ville, dans un chemin qui côtoyait le Rhône ou la Saône , car...son coucher, avait laissé dans le ciel des vapeurs rouges dont la réflexion rendait l'eau couleur de rose; les arbres des terrasses étaient chargés... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 páginas
...élevés en terrasse bordaient le chemin du côté opposé. Il avait fait très-chaud ce jour là, la soirée était charmante; la rosée humectait l'herbe flétrie; point de vent, une nuit-tranquille-, l'air était frais sans être froid; le soleil, après son coucher, avait laissé... | |
| 1838 - 512 páginas
...charmante ; la rosée humectait l'herbe Qétric ; point de vent, une nuit tranquille, l'air étai' Trais sans être froid ; le soleil , après son coucher, avait laissé dans le ciel des vapeurs rouges dont la réflexion rendait l'eau couleur de rosé ; les arbres des terrasses étaient chargés... | |
| Charles Joseph Chambet - 1836 - 378 páginas
...charmante ; la rosée hii« mectait l'herbe fleurie; point de vent. « une nuit tranquille ; l'eir était frais sans « être froid ; le soleil après...coucher « avait laissé dans le ciel des vapeurs rou« ge» , dont la réflexion rendait l'eau cou« leur de rose ; les arbres des terrasses « étaient... | |
| 1838 - 516 páginas
...admirable tableau : Je me souviens même d'avoir passé une nuit délicieuse hors de la ville , dans un chemin qui côtoyait le Rhône ou la Saône, car je...flétrie ; point de vent, une nuit tranquille, l'air étai* frais sans ètre froid ; le soleil , après son coucher, avait laissé dans le ciel des vapeurs... | |
| 1838 - 512 páginas
...admirable tableau : Je me souviens même d'avoir passé une nuit délicieuse hors de la ville , dans un chemin qui côtoyait le Rhône ou la Saône , car...flétrie ; point de vent, une nuit tranquille, l'air étai1 frais sans être froid ; le soleil , après son coucher, avait laissé dans le ciel des vapeurs... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1844 - 642 páginas
...me souviens même d'avoir passé une nuit délicieuse hors de la ville, dans un chemin qui cotoyait le Rhône ou la Saône , car je ne me rappelle pas...son coucher, avait laissé dans le ciel des vapeurs rouges dont la réflexion rendait l'eau couleur de rose ; les arbres des terrasses étaient chargés... | |
| Stephen Prentis - 1844 - 148 páginas
...hors de la ville, dans « un chemin, qui côtoyait le Rhône ou la Saône, car je ne me rap« pelle pas lequel des deux. Des jardins, élevés en terrasse,...son coucher avait laissé dans le ciel des vapeurs rouges , dont « la réflexion rendait l'eau couleur de rosé; les arbres de la terrasse « étaient... | |
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